Pierre Rodier,
La Journée des sauveteurs volontaires
Éditions Corosol
Un second disque réjouissant cuisiné dans le bain bouillonnant d’une chanson française jazzy ou world music, c’est selon. Une chanson qui parle parfois d’amour. Parfois seulement. S’acoquine d’un second degré qui fait du bien, d’autant qu’il se digère sans difficulté. Un condensé de scénarios qui puisent aussi dans l’humour. Ni trop vache, ni trop noir. Quoique… Et puis il y a la couleur de voix de Pierre Rodier. Délicate, moqueuse. Qu’on rapprochera d’un Scheller ou d’un Souchon. Des références, sans doute, pour ce musicien originaire d’Auray.
par Pierre Wadoux